Ce récit, pas si rare, narre une fois de plus, l'histoire d'un sale fils à papa trop gaté pourri pour ne pas en devenir infâme. Ou - comment perdre la valeur des choses puisqu'il suffit de demander pour avoir tout ce que l'argent peut acheter, y compris des amis?  Lee, né d'une première union de son père naquit un beau jour d'été. Le 22eme du mois d'Aout pour être précis. Son paternel, absent pour l'occasion, première absence d'une longue série, ne se présenta pas à l'hôpital ce jour là et pour cause... Il était en déplacement à l'etranger, puisque PDG d'une grande firme international. Quant à sa mère, il n'eu que trop peu de temps pour réellement la connaître. Elle décéda deux ans plus tard des suites d'un accident de voiture. Il fut élever dans un grand manoir par une gouvernante autoritaire, pressée, froide et un père trop souvent en déplacement. Sortir sans surveillance lui était bien évidemment interdit. Il était le fils unique du grand Stewart Davis, l'heritier de la grande firme. Il se devait de rester en securité à la maison, d'étudier et surtout de ne pas côtoyer n'importe qui. Au risque de lui voir fleurir plein d'idée socialiste ce que redoutait son père par dessus tout. Un chien pour seul compagnon de jeu, quelques fois des majordomes pour des partis trop calmes d'echecs, les arts martiaux pour exercices physiques et marque d’excellence, des livres pour compagnie, des précepteurs privés pour l'instruction... Avec sa solitude finalement Lee n'avait que sa longue vue pour s’évader dans les étoiles puis bien vite, par la fenêtre des voisins. Il adorait observer une personne dans tout ses etats. Si possible à son insu. Il se regalait toujours du décalage entre ce que les gens faisaient quand ils etaient seuls et de ce qu'ils disaient pour se faire bien voir en société. Du genre humain observé à la derobée il appris de nombreuses notions utiles, entre-autres, le mensonge et que l'amitié n'etait qu'une entente de bon procédés interessés. Quant à l'amour... Il avait appris a ne plus y croire avant même de le decouvrir. Il avait été là quant bien des gens de son entourage s'etait mariés. Il avait été là quand ces mêmes gens cocufiaient leur aimable moitié.  Mais tout petit Lee devint grand et irrespectueux. Bien vite  il ne tarda pas à mener l'existence trés dure a ses instructeurs se debrouillant toujours pour faire connaître au grand jour leur vie privée et les ridiculiser. Il n'a jamais été prouvé qu'il s'agissait de lui, n'empêche que peu à peu la rumeur fila, de moins en moins de professeurs osèrent venir lui donner des cours. Si bien que son père, poussé par sa secretaire, Hanna (Finalement la seule personne a n'avoir jamais oublié un seul de ses anniversaires...) Dût se resigner à l'envoyer dans la trés réputée école de Bridges Adams en Angleterre. En internat. Stewart comptait sur la celebre ecole pour l'eduquer. Lui enseigner. Lee prit et à juste titre, la decharge de son père sur l'etablissement d'enseignement supérieur, comme un abandon. A ce jour, il entretient des rapport tout juste cordiaux avec son père. La seule personne pour qui il aurait erzatz d'affection serait la gentille Hanna qui a toujours veillé à ce que le paternel n'oubli pas son fiston. »